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En attendant le quatre cent cinquante deuxième fafiot!

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 Vendredi 29 mars 2013

 (de recauser des fondamentaux de la Pâquitude)


(Django Reinhardt – Minor swing)

 Chères déconnobloguiteuses, chers déconnobloguiteurs, bonjour!

Figurez vous que le blog de la déconnitude  est deviendu une référence mondiale ce dont au sujet desquels les sujets aussi divers que variés. En cette période Pascale (ou Ginette, si vous vous appelez Ginette), une forte demande de renseignements concernant la Pâquitude fait affoler le compteur de Déconnoland.

Afin de répondre à cette demande ponctuelle, j’ai compilé 5 anciens fafiots qui relatent de façon rigoureuse et historique cette période qui fait sortir bêtement des oeufs  kinder des jardins recherchés par des chiards bouffis de conneries.

(Je tiens à préciser que vous trouverez des clichetons de Ben au Hit 16 (64?) au lieu de celles de l’Abbé Mousse Papam car nous imprimons ce fafiot le vendredi Saint et que, par conséquent, on ne peut avoir les clichetons de la prestation de François de ce viquinde).

 Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais la France, fille aînée de l’église est un état laïque. Les trois quarts des pignoufs qui défilent régulièrement entre Bastille et République, à cause de la crise de nerfs et du pouvoir d’Aïcha, ont pris ou vont prendre leur traîne con pour profiter d’un viquinde prolongé,  en oubliant complètement que s’ils peuvent aller se klaxonner la tronche un jour de plus chez leur belle-doche, c’est à la religion qu’ils le doivent.

D’ailleurs, le lundi de pâques est généralement férié et chômé dans les entreprises, même si ces dernières n’embauchent que des musulmans. C’est férié et chômé dans les administrations, mais là, ça se voit moins, le rendement restant continu.

A Déconnoland, nous ne pissons pas à la raie de la chrétienté, car on connaît le res-pêt, et en pluche, on peut avoir des sujets de fafiots assez poilants.

déconno-dossier:

“La Pâquitude pour les nuls

 première partie: Jeudi Saint”

Mes biens chers frères, mes bien chères soeurs, mes belles soeurs, mes beaufs, qu’est-ce que Pâques?

Je vous remercie de m’avoir posé la question, et je vais vous donner des réponses claires, et deculmentées. Ayant prononcés mes oeufs au petit séminaire de chez Lustucru, je peux vous dire que Pâques n’a pas de secret pour moi.

Pâques est une fête religieuse chrétienne commémorant  la résurrection du petit jésus, qui, souvenons nous zan, avait fait un tabac en illuminant sa casbah à Noël au milieu du cheptel. Cette résurrection a lieue le troisième jour après sa crucifixion, le vendredi saint.

(Note aux bénêts : pour la naissance du petit jésus, c’est ici que ça se passe:
http://franck77.unblog.fr/2012/12/25/cest-le-quatre-cent-quarante-troisieme-fafiot/)

Mais ne nous emballons pas, prenons les choses comme le quinté, c’est à dire dans l’ordre.

Jeudi saint, c’était hier, enfin c’est une façon de parler.

Quand on ligote les saintes écritures, le jeudi saint commémore l’institution par le Christ de la Cène, ou Eucharistie, lors de la dernière bouffe faite avec son boys band avant qu’il ne soit embastillé.

cene.jpg

(« c’est ma dernière surprise partie » – dernier Enregistrement Cène aux éditions pathé-maconnerie)

Le repas pascal avait lieu le soir du 14 nizan, qui correspond au jeudi saint. Ce repas, appelé Seder, commémorait la libération des hébreux de l’esclavage qu’ils subissaient en Egypte et plus précisément le repas pascal que mangèrent les hébreux à la hâte avant de quitter l’Egypte et de partir vers le désert.

Le repas se prend dans les deux premiers jours  de la fête de la Pâque (Pessah) qui dure sept jours (la semaine des Azymes) et qui célèbre à la fois la fertilité de la terre et la sortie d’Egypte. Pendant le temps de la fête on ne prend aucume nourriture contenant du levain et on ne mange donc que du pain azyme

Le petit Jésus, qui cuisinait aussi bien que moi je tricote, avait envoyé Vincent, Paul et les autres acheter et préparer la boustifaille. Sur la liste de courses, il avait mis des gigots en promo à 5,75 euros (après conversion avec le flouze de l’époque) le kilo chez Carrouf, deux barils d’azymes, et un cubi de jaja.

Le gazier, qui frimait pas mal devant ses potes et qui voulait montrer qui était Raoul, s’est levé pour faire un numéro visuel.

Il prit le pain, le rompit et le donna à ses potes en disant : « Prenez et mangez en tous, ceci est mon corps livré pour vous ».

Puis, à la fin du repas, comme il trouvait que sa menteuse était plutôt sécos,  que ses potes rechignaient à la lichette et que son godet était à marée basse, il relançait l’affaire en disant: « Buvez en tous, car ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé pour la multitude, pour le pardon des péchés ».

Raconter un char pareil, juste histoire de s’enfiler un gorgeon derrière la cravetouze était signe qu’il n’était pas trop craintif le mecton. Surtout que le jaja était plutôt du genre piqué au vif, qui trouait les bottes quand tu le pissais.

Ensuite, selon Jean (chapitre 15, ligne 12), Jésus donne un commandement nouveau « Aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimés »

Selon Michou (chapitre 13, paragraphe Q), Jésus aurait dit « Enculez vous les uns les autres ». Avec le recul, si j’ose dire, il me semble que Michou n’était pas loin de la vérité quant à l’application future des commandements de Jésus.

Enfin, comme la sono était en place et que Jésus avait repéré pendant la bouffe que ses potes étaient crassepecs au niveau des écrase merde, et qu’il fallait démouler pour aller sur le parquet neuf de la piste de danse, il s’est mis à nettoyer les tringlots au Harpic et à retirer les bouloches coincés entre les doigts des panards, pour ne pas faire fuir les meuf potentielles.

 

lavementtringlotparbenauhit.jpg

(Récurage des arpions par Ben au Hit 16(64?) himself)

 En attendant le quatre cent cinquante deuxième fafiot! dans l'athée au logis pape-francois

(l’abbé Mousse Papam (Pape François) astiquant un arpion méchamment crassepec d’embastillé)
(crédit photo: AFPêt (de nonne?))

(Cette année, le nouveau Pape a fait l’opération tringlot dans une tôle romaine. Quand notre François à nous a vu que c’était un bon moyen pour faire remonter sa côte de popularité, il a décidé, lui aussi, d’aller astiquer les nougats de repris de justice en faisant une manucure à Florence Cassez)

Après le lavage des arpions, Jésus s’est dit « tiens, avant de guincher, si y en a que ça intéresse, je vais aller m’en griller une dans le jardin de Guesh Patti Gethsémani ». Les apôtres Pierre, Jacques et Jean collaient au train du fumeur.

C’est à ce moment là que ça s’est gâté. Alors que Jésus finit de s’en rouler  une (de taffe), Judas vint lui en rouler une (de pelle) indiquant aux romains qui l’accompagnaient que c’était le gazier à arrêter pour qu’il comparaisse devant le grand prêtre juif.

Pierrot qui voyait qu’il allait peut-être se retrouver au chomedu si on emportait son boss, sortit son opinel et commença à taillader des esgourdes. Jésus s’interposa et lui dit:  » Rengaine ton glaive; car tous les ceusses qui prennent le glaive périront par le glaive  » puis ajouta « je ramasse les copies dans 4 plombes », puis termina par « Damned! »

 

giottogefangenennahme1.jpg

 

(Opération « Les baisés comptez-vous » – Huile sur Placo)

 

Jésus se retrouva en comparution immédiate devant le grand prêtre Caïphe. A l’issue de son interrogatoire, le prévenu proclama en public qu’il était le Messie et le Fils de Dieu. Caïphe lui dit, en substance, que lui, il était la Reine d’Angleterre et qu’il arrivait à faire le grand écart. Comme il n’aimait pas qu’on se foute de sa fiole, surtout avant un viquinde prolongé, il n’est pas allé avec le dos de l’écuyère et l’a condamné à mort. Il a demandé à un légionnaire romain d’appeler le préfet Pilate pour faire la peau au camé, mais ce dernier lui dit « Non, il pionce Pilate ».
Les festivités furent reportées au lendemain.

 Quant à Pierre, qui était passé à la gégenne pour savoir ou était planquée la came, il a plutôt joué le faux derche. Il affirma qu’il ne connaissait pas le barbu, et qu’il l’avait accosté pour savoir si il pouvait lui souffler dans sa trompette  de Jéricho. Il le répéta trois fois, et le coq pouvait enfin pousser sa gueulante.

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déconno-dossier:

“La Pâquitude pour les nuls

 deuxième partie: Vendredi Saint”

(Résumé des épisodes précédents :
Le petit Jésus est dans la mouise. L’avocat commis d’office est plutôt véreux et a dû sécher les cours de thé au logis. Bref, ça va craindre pour les miches du barbu)

Le lendemain matin, Jésus est emmené pour être jugé devant le préfet Ponce Pilate qui était en train de pondre un arrêté préfectoral pour mettre une barrière de dégel au Mont des Oliviers.

Comme l’affaire était déjà pliée depuis la veille, Ponce Pilate condamne le camé à mortà mort le camé.

En amuse gueule, Jésus est tout d’abord flagellé. Pour la petite histoire, une fan de la première heure, Ginette Tantakuline, voulant donner des forces à son idole pour le restant des épreuves, donna discrètement du restant de gigot de la veille au flagellé. Ceci explique en partie pourquoi on cuisine souvent le gigot aux flagellés quand on est en viquinde prolongé chez sa belle mère.

Je vous passe le détail de la couronne d’épines (on l’étudiera l’année prochaine)

Ensuite, Ponce Pilate demanda au public hébreu présent de choisir qui de Jésus ou de Barabbas (un brigand) échappera à l’exécution. La foule cria « Libérez Barabbas », car elle trouvait que Barabbas était un nom plutôt rigolo.

Du coup, Jésus a pris de le départ de la grande classique du jour, l’ascension du Mont du Golgotha. Certes, pour les puristes, le Mont n’est pas classé hors catégorie et même si on creuse des écarts dans la montée, le nombre de points est ridicule pour le classement du maillot à pois, et on ne peut espérer de faire une remontée fantastique au général.

Mais le côté ardu de la tâche, c’est que pour pouvoir être crucifié en haut, il faut porter sa croix et à l’époque c’était du massif, ce n’était pas du matos en aggloméré de chez But. En gros, c’est comme si le coureur du tour de France devait grimper le ballon d’Alsace en portant le podium.

Voici les temps forts de la classique: 

    1. Jésus est condamné à être crucifié
    2. Jésus est chargé de sa croix
    3. Jésus tombe pour la première fois sous le poids de la croix
    4. Jésus rencontre sa mère
    5. Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix
    6. Sainte Véronique essuie le visage de jésus
    7. Jésus tombe pour la deuxième fois
    8. Jésus rencontre les femmes de Jérusalem qui pleurent
    9. Jésus tombe pour la troisième fois
    10. Jésus est dépouillé de ses vêtements
    11. Jésus est cloué sur la croix
    12. Jésus meurt sur la croix.
    13. Jésus est détaché de la croix et son corps est remis à sa mère
    14. Le corps de Jésus est mis au tombeau

Grâce à ma carte de presse de Déconnoland, j’ai pu accéder au documentaire de l’époque secrètement gardé sous le padoque de Ben au Hit 16(64?) au milieu de ses bouquins de cultes.

Le top 14 du Golgotha

« Salut les p’tits clous (on sentait que le présentateur voulait percer dans sa branche en parlant d’jeun’s).

Voici, le résumé de la classique de l’ascension du Golgotha, et Jean Louis nous a concocté un tout en images intégrant un best of (de Pâques?) des gadins. Accrochez vous aux branches, tous à vos cassettes, c’est du lourd: »

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 1. Jésus a mal répondu à la question rouge posée par Pilate, Ponce Pilate.
Du coup, il est condamné à retourner à la maison mère.

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  2. On équipe Jésus de son spad en bois d’arbre, et on lui file un dossard.

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 3. Un clébard qui a traversé sans son gilet jaune déstabilise le gazier qui bouffe le gravier.

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 4. Jésus, régional de l’étape, a eu l’autorisation de sortir du peleton pour aller claquer une bise à sa daronne.

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5. Simon de Cyrène, le gagnant du concours Bartissol, a gagné le droit de porter le spad sur quelques lacets pour se faire prendre en photo avec l’athlète.

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 6. Sainte Véronique vient éponger le front avec son slibouse en promo. Jésus gagne des places à la suaire de son front.

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7. Première défaillance du gazier. Le gigot aux flagellés est déjà digéré, et il manque d’un peu de sauce jus.

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 8. Jésus croise les meufs de Jérusalem qui pleurent de voir l’homme dans l’effort en restant digne et en danseuse car le dernier raidillon supporte mal les grands braquets.

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 9. Coup de théâtre. Alors qu’il se retournait pour mater le valseur de la dernière pleureuse qui était plutôt gironde, le centre de gravité de l’ensemble s’est déplacé de telle sorte qu’il s’est refoutu la gueule par terre.

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 10. Arrivée de l’étape, on dessape le gazier avant la présentation sur le podium.

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 11. Comme il n’arrête pas de se foutre la tronche par terre, les organisateurs décident de le fixer sur un support pour pas que la une de l’Equipe présente une photo floue le lendemain.

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 12. Le héros du jour a eu, comme Simpson, un coup de buis et il a canné de son coup de pompe.

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 13. Le médecin légiste, ayant décelé un cas de tétanos à cause des clous rouillés achetés au cul du camion de chez l’Outilleur Auvergnat,  rend le corps à la famille.

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 14. Suivant les volonté de la famille, Jésus est mis dans un tombeau en pierre tombale, car le bois ne lui va pas au teint.

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Que doit faire le pélerin le Vendredi Saint?

Tout d’abord, même si il flotte comme vache qui pisse, le pélerin ne doit pas s’arrêter. Pour les ceusses qui ont la foi ou qui ont envie de se faire chier la bite à refaire l’étape sans se soucier du classement, plusieurs parcours sont organisés, sponsorisés par M. Bricolage et Roc-Eclair.

Nous tenons à préciser aux fêlés du mandrin que le Vendredi Saint n’est pas la journée nationale des tee-shirts mouillés.

Tout bon chrétien doit impérativement manger du poiscaille. Les pélerins qui refont le chemin de croix pourront emmener de la raie dans leur tupperware, ou brouter de la morue si ils passent par un quartier chaud.

 

déconno-dossier:

“La Pâquitude pour les nuls

 troisième partie: Samedi Saint”

Après toutes les péripéties de ces deux derniers jours, les Saintes écritures nous disent que le Samedi Saint est un jour de silence et de rienfoutage.

Certes , il y a du mou dans la corde à noeuds au niveau des apôtres et du nettoyage à faire dans la montée du Golgotha après le passage de la caravane publicitaire, mais on sent que l’action a subitement baissée et qu’il faudrait presque rien pour que l’on s’endorme en sursaut.

Niveau envoi de faire-parts pour la sépulture de Jésus, c’était queue dalle étant donné qu’il a été expédié comme un sapin de Noël après les fêtes : une fois décrochées, les boules sont, dans la foulée, rangées dans la boite.

Mais les observateurs avisés sentent que Jésus n’a pa dit son dernier mot et qu’il compte bien remporter l’étape du lendemain. Ils ont vu qu’il a cané sans conviction, et ils n’ont pas suivi les romains qui scandaient bêtement  »yes il cane ».

Ils ont décidé d’organiser une soirée Jésurrection, et ont même préparé de la mayo pour terminer les restes de gigot. Ce sera la première veillée Pascale de l’Histoire.

En attendant l’évènement du viquinde, ils ont fait un feu de bois avec les rameaux et ont grattouillé un peu les limouilles.

déconno-dossier:

 “La Pâquitude pour les nuls

  Quatrième Partie : Dimanche de Pâques”

 (Résumé des épisodes précédents :
Après une journée quartier libre, les estivants ont fait un boeuf en chantant au coin du feu en attendant l’ami Ricoré).

 Vl’a t’y pas que le troisième jour avant que cela me reprenne, Jésus, qui pourtant n’était pas parti favori dans la classique du Golgotha, revient du diable les ovaires vauvert, et dit « Salut les aminches, il reste du gigot? ».

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15. Coup de théatre. Jésus sort du coma, et, encore dans le coltar, il lève les bras en croyant passer la ligne en criant « Même pas mal! »

 Les ceusses et ceuzes de son fan club, qui ont veillé toute la nuit, avait un peu la tronche dans le sac, mais en revoyant le gazier débouler frais comme un gardon, z’ont eu vite fait de dessaouler et dirent tous en coeur « Punaise à poil, notre poteau est reviendu, ça s’arrose, on va pouvoir se taper la cloche ».

 Jésus leur dit : « Je viens vous présenter mes oeufs de Pâques. j’ai ramené des moules aussi, mais faudra les gratter « .

 C’est pour commémorer cette Jésurrection, que l’abbé Mousse papam grimpe au balcon pour faire sa bénédiction hors bi (on connaît son aversion pour les ecce homos) et gourbi.

 Au départ, il n’était pas trop confiant papounet, car avec ce qu’il avait à la main, il semblait ne pas avoir des nouvelles fraîches de Jésus:

 benoit20xvi20paques.jpg

(à l’heure ou nous imprimons, le nouveau pape n’a pas encore fait son taf, c’est pour cela que c’est la tronche de Ben au hit 16(64?))

Mais le Cardinal Paga est viendu lui glisser une des pêches de l’AFPêt, ce qui redonna un coup de fouet à pépère. 

 En substance, il a dit au monde ceci:

 « Ce matin, pour fêter la reviendure du Boss, je suis allé chercher dans mon jardin les oeufs de Pâques. Et bien, vous me croirez ou pas mais j’en ai trouvé un gros comme çà:

 iphoto123953402653510jpg.jpg

Ça relève du miracle, car la poule qui l’a pondu n’avait pas un trou de balle à faire bander l’abbé Queutard! »

 Donc, le dimanche de Pâques, on fait la chouille pour fêter la maillot à pois de Jésus, et ce jusqu’aux oeufs de vingt heures.

 Vous avez remarqué que l’on trouve aussi des lapins au chocolat au milieu des oeufs, alors que, selon Ali Turgie, seuls les Oeufs Calibre 5 sont homologués. Une des explications, et que si il n’y a pas un arrêté préfectoral qui impose les clôtures, faut pas s’étonner que ce soit le boxif dans la chasse aux oeufs.

lapinetpoule.jpg

 (Le mystère dévoilé du lapin au chocolat)

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 déconno-dossier:

 “La Pâquitude pour les nuls

 Dernière Partie : Lundi de Pâques”

(Résumé des épisodes précédents :
L’abbé Mousse Papam s’est tapé la cloche comme tout le monde, il invente un char pour ne pas aller bosser le lendemain à cause d’une crise de foi)

 Le lundi de pâques, jour férié chrétien, permet aux martinaubristes d’écluser les surplus de M. Kinder et de contribuer à l’obésité de leur progéniture bouffie de pâquitude, et d’aller manger chez leur belle-doche l’agneau pascal en oubliant de faire la prière car l’apéro est servi.

 Pas chrétiens pour deux sous, ils profitent benoîtement (c’est le cas de le dire) de ce jour là, pour organiser leur lundi de pentecôte, jour qui commémore le tournoi de foot organisé par Jésus avec ses apôtres, ou qui correspond à la commémoration du premier vide-grenier au marché Saint Pierre.

Et voila le travail! j’espère avoir répondu aux attentes (quechua?) des étudiants, des chercheurs, de mon beau-frère et de toutes les ceuzes et tous les ceusses qui veulent connaître la signification primordiale de cette période de la crétinté…

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 (©franck.mar77)

 ****  Pour commenter le fafiot ou pour lire les commentaires , il suffit de cliquouiller ici

 **** Pour les ceusses et ceuzes qui découvrent ce beau blog, ils ont un apercu général ici

 **** Pour les timides qui veulent nous clouer sur une poule au riz, l’adresse du courriel ce dont au sujet de laquelle est :

 deconnoland@orange.fr

 ***** Une nouveauté, le lien fesses-bouc : http://www.facebook.com/franck.duconno

 


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